La Chapelle des Pénitents Blancs

Dite Chapelle-Blanche dédiée à Notre Dame de l’Assomption de la confrérie des Pénitents blancs de la Sainte Croix.

La Chapelle des Pénitents Noirs

Dite de la Miséricorde. Les Pénitents Noirs s’occupaient des malades, des pauvres, de la toilette des morts et des enterrements et participaient aux processions.

La Chapelle Sainte-Pétronille

Située dans le Quartier du Pestrier. Au XIe siècle l’Abbaye de St Pons fait construire cette chapelle pour relancer l’agriculture

L’Eglise Saint Antoine de Siga

Edifice et clocher à bulbe avec des tuiles vernissées (XIXe), l’Eglise reconstruite sur l’emplacement d’une ancienne chapelle situé au hameau de « La Siga ».

La Chapelle Saint Joseph

Chapelle privée appartenant aux Giletta située sur la route de La Roquette au lieu dit Porte Rouge.

On peut lire la date: 12 juin 1845 sur un cadre à l’intérieur. Passeurs de mémoire indique une construction initiale en 1678.

La Chapelle Sainte Claire

Chapelle accolée a une habitation, elle se trouve au hameau de Sainte Claire

Chapelle sise Chemin René Pouchol

Probablement du XVIe ou XVIIe siècle

Chapelle du Férion

Située au Mont Férion à 1261 m. Elle possède un porche ouvert et contient une statue de Michel Archange. Elle est entourée  d’une futaie d’arbres centenaires (cèdres et pins).

Maison et Place du Portal

Belle demeure bourgeoise du XVIIe s, située au coeur du village. Elle tire son nom de la porte ogivale contre laquelle elle est construite élément des remparts qui jadis protégeaient le vieux bourg et son château.

Place de la Liberté

En 1621, Les Levensans se soulèvent, investissent le château  et plantent sur la Place une grosse pierre conique « le Boutaù » sur laquelle ils dansent en signe de liberté.

Lou Palae

Aprés les épisodes sanglants de la Révolution, l’Empire apparaît comme une période de paix qui voit pointer la gloire du plus célèbre des Levensans André Massena « l’Enfant chéri de la victoire ». C’est sa maison natale que l’on peut admirer chemin du Pestrier. On trouve également un oppidum ligure.

Lavoirs et fontaines du village

La chute de l’Empire et la guerre due 1870 provoque un exode rural important d’autant que la population de Levens manquait cruellement d’eau et que la culture de l’olivier périclait. C’est a lors que le Docteur Joseph Faraut, Maire de la commune, fit de sa devise « aqua fons vitae » (l’eau source de vie) le principe qui présida à la renaissance du canton. Une politique d’aménagement du territoire qui fut poursuivie et développé par son petit-fils, Joseph Raybaud, élu en 1929 plus jeune Maire de France.

Cirque semi-circulaire de restanques en bas de la Chapelle Saint-Joseph

L’Eglise Saint Antonin

Le chartrier de l’abbaye Saint-Pons de Nice fait mention, en 1286, est la propriété de la commune.

La construction de la première église est vraisemblablement antérieure au XIIIe siècle, mais elle a subi de nombreux remaniements, en particulier au début XVIIe siècle.

La façade a été refaite au XXe siècle en s’inspirant de la cathédrale de Monaco avec des pierres provenant des carrières de La Turbie, mais surtout des carrières de Sainte-Claire, hameau de Levens.

Le fresquiste Guy Ceppa a restauré en 1981-1982 la décoration des voûtes de l’église qui existaient au XVIIe siècle.

L’édifice est inscrit au titre des monuments historiques le 22 décembre 19411

Notre Dame des Près

L’église de la Madone-des-Près était la première église de Levens. Son style la rattache au premier art roman et date approximativement du 3e quart du XIe siècle.

Aujourd’hui, les restes de l’église sont englobés dans une habitation. Il reste de l’église romane le chevet et la crypte. La crypte est la partie la mieux conservée de l’édifice.

L’édifice a été classé au titre des monuments historiques le